En l'espèce, une salariée licenciée pour faute grave par lettre du 22 décembre 2016, avait poursuivi son travail dans l'entreprise jusqu'au 31 décembre 2016.
Rappelant que la faute grave est celle qui rend impossible le maintien du salarié dans l'entreprise, la Cour de Cassation en déduit que les faits invoqués n'excluaient pas son maintien dans ...